O, nuit nue,
Te regard avec mes yeux
viciés e ma visage
ennuyée
O, nuit sombrie,
Te veux avec mon âme
pleine de songe
que vibre encore
O, nuit irrémédiable,
te vois triste
mais je t'aime
même ainsi
O, nuit sans fin,
sans malheur
sans brille
calme et langueureuse
O, nuit longue,
que le vent t'insuffle
sa magie unique
dans son rugir
-- Hamilton Alves em ''O cão noturno''.
Nenhum comentário:
Postar um comentário